DENI DE JUSTICE Lorsqu’il a des liens avoués avec la partie plaignante, le juge vaudois Philippe Colelgough refuse de se récuser. Si l’on demande au Tribunal cantonal quelques explications, c’est encore et toujours Philippe Colelough qui répond! Exemples dans une affaire qui pèse plusieurs millions.
Le juge vaudois Philippe Colelough poursuit une bien curieuse carrière : de collusion en déni de justice, il est décidemment le prototype de toutes les dérives de la justice dans le canton de Vaud. En voici un nouvel exemple.
On connait ses frasques amoureuses et délictueuses avec sa collègue la juge cantonale Yasmina Bendani (http://www.pjinvestigation.ch/?p=3722), le voici épinglé dans une affaire de succession qui, à cause de lui, se transforme en véritable déni de justice.
Certains héritiers, se sentant floués, demandent une expertise comptable de la société.
Les faits sont assez compliqués et nous en resterons à l’essentiel : lors du règlement de la succession de feu M. Philippe Galland de la société immobilière Galland & Cie SA, il apparait clairement dès janvier 2004 que des actifs importants n’ont pas été estimés, car les chiffres produits sont très bas.
Certains héritiers, se sentant floués, demandent une expertise comptable de la société et font appel au célèbre avocat lausannois Me Philippe Reymond.
Biens plus que sous-estimés
Me Reymond fait établir une expertise comptable qui – surprise ! – conclut que la société Galland vaut environ un million. L’avocat assure que l’estimation est parfaitement correcte, pourtant certains biens immobiliers ne sont pas estimés. Michèle Herzog découvre tout-à-coup l’existence dans un bilan d’un compte de titres de 2 millions environ jamais cité auparavant.
Cela peut cacher des biens immobiliers de plus de 30 millions de francs suisses.
Le contenu du compte de titres et du compte de participations n’est pas produit, ce qui est anormal. Cela peut cacher des biens immobiliers de plus de 30 millions de francs suisses d’après Michèle Herzog.
Michèle Herzog se fâche contre Me Reymond et l’accuse entre autre d’avoir été «corrompu» par la partie adverse. L’avocat outré dépose une plainte en diffamation contre Michèle Herzog et c’est ici que le juge Colelough sort à nouveau du bois !
Pièce jamais transmise
Michèle Herzog, prévenue de diffamation, demande alors la production d’une pièce étiquetée «203» qui contient la liste «des titres et des participations de Galland &Cie SA pour les années 1999 à 2001». Un document qui est primordial pour savoir quelles actions de sociétés immobilières sont détenues par Galland & Cie SA et pour estimer cette société de façon sérieuse.
Or de l’aveu même de M. Patrice Galland, nouveau propriétaire de la gérance, la pièce 203 n’a jamais été transmise à Maître Philippe Reymond ! Et Patrice Galland a refusé de produire la pièce requise 203 !
Le Président (Colelough) informe les parties qu’il connait à titre personnel le plaignant (Me Reymond) et qu’il connait également la demi sœur de l’accusée.
Le Jugement du Tribunal de police dans la cause contre Michèle Herzog est rendu le 23 septembre 2010 à 17 h 20 sous la présidence du juge Philippe Colelough.
Voici quelques extraits édifiants de son jugement :
«Le Président (Colelough) informe les parties qu’il connait à titre personnel le plaignant (Me Reymond) et qu’il connait également la demi sœur de l’accusée» ! Mais il conclut sereinement : «Cette circonstance n’est pas de nature à requérir la récusation du Président de céans» !!!
Voilà déjà qui est pas mal ! Colelough savait depuis 2008 qu’il allait devoir statuer dans une affaire dont son grand ami Reymond serait le plaignant. Il ne daigne en avertir l’accusée Herzog que le jour du procès ! Ce refus de se récuser est une véritable habitude chez cet homme-là.
(http://www.pjinvestigation.ch/?p=3722 et http://www.pjinvestigation.ch/?p=946).
Mais accrochez-vous, le pire est à venir !
Sans pertinence
Comme de bien entendu, Michèle Herzog est condamnée pour diffamation à l’encontre de «l’ami» Reymond, mais surtout le juge Colelough a le culot de conclure que la pièce 203, à cause de laquelle ce procès a lieu, «ne peut qu’être dénuée de pertinence et décide de refuser d’ordonner la production de la pièce requise» !!!!!!
On en tombe à la renverse ! Voici donc un juge face à un conflit qui concerne des millions de francs et qui décide que la seule pièce judiciaire qui pourrait régler le cas est «dénuée de pertinence»!
Plus fort encore ! Dès décembre 2014, Michèle Herzog demande au Tribunal d’arrondissement de Lausanne de bien vouloir appliquer l’art 83 du Code de Procédure pénale (CPP) qui permet «d’expliquer ou de rectifier un dispositif peu clair ou incomplet ou en contradiction avec l’exposé des motifs».
Et qui répond à cette requête en janvier 2015 ? LE JUGE COLELOUGH !
Le juge qui se juge lui-même
Le gaillard vient d’être viré du Tribunal cantonal (la Cour suprême du canton de Vaud) suite à ses démêlées amoureuses et illégales avec la juge Yasmina Bendani et il a été rétrogradé dans l’instance inférieure, soit un tribunal d’arrondissement (Ce qui, avouez-le, est déjà un comble !) Et le type qui avait estimé que la pièce 203 était «dénuée de pertinence» ose encore affirmer : « Ce que vous demandez dans votre courrier (l’application de l’article 83 CPP) excède très largement le cadre de l’art. 83, qui ne trouve par conséquent pas d’application en l’espèce » !!!!!!!!!
Totalement sidérée de constater que c’est le même Colelough qui répond négativement à sa demande d’appliquer l’art. 83 CPP, Michèle Herzog envoie une lettre recommandée au Tribunal d’arrondissement le 15 janvier 2015.
Elle fait un résumé consciencieux de toutes les étapes des procédures précédentes, explique qu’il y a de quoi déposer des plaintes pénales contre divers protagonistes de l’affaire, dont Me Reymond et l’expert-comptable diplômé auteur de la fausse estimation et demande évidemment que l’article 83 soit appliqué. Rien de plus évident.
Et qui répond à cette lettre recommandée adressée au tribunal ? Vous l’avez deviné : le principal suspect, le ci-devant Juge Philippe COLELOUGH.
Quant au dernier courrier envoyé par le juge à Michèle Herzog, il tient en trois lignes.
Autrement dit, et on s’arrêtera là pour cette fois, un juge mis en cause pour déni de justice et collusion avec les parties dénonciatrices répond LUI-MÊME à ces mises en cause pour les nier et refuser d’entrer en matière !
Questions sans réponses
Nous avons demandé au juge Philippe Colelough de répondre à nos questions :
1) Dans le jugement rendu le 23 sept 2010 dans la cause Me Ph. Reymond versus Herzog Michèle vous avez jugé que la pièce requise dite 203 était dénuée de pertinence. Pouvez-vous le justifier?
2) Pourquoi ne vous êtes-vous pas récusé dans cette affaire alors que vous avez admis être un proche de Me Reymond?
3) Dans les requêtes de Madame Herzog concernant l’application de l’art 83 CPP, pourquoi ne vous êtes-vous pas récusé alors que vous étiez à l’origine du premier jugement?
4) Dans le cadre de l’affaire Colelough-Bendani, nous avons établi, preuves à l’appui, que votre collusion était réelle dans l’affaire Ségalat et fortement probable dans l’affaire Légeret. Pouvez-vous confirmer, hors de tout doute, que vous n’aviez aucun commerce amoureux entre vous lors du procès en cassation Légeret dans lequel siégeait Madame Bendani?
5) Dans les affaires Légeret et Ségalat (notamment) vous avez toujours suivi les réquisitoires du procureur général Eric Cottier. Pouvez-vous nous certifier que vous n’avez, en dehors de vos parcours professionnels avérés, aucun lien amical, sociétal ou autre qui pourrait vous induire à ne pas être impartial?
Nous vous rappelons que vous avez trois possibilités:
1) Ne pas répondre à nos questions et nous le mentionnerons.
2) Nous donner des réponses que nous publierons.
3) Nous démontrer que tout ce nous avançons est faux pour nous permettre de ne pas publier notre enquête.
A ce jour, le juge Philippe Colelough n’a répondu à aucune de nos questions.
Patrick Nordmann
J’ai en son temps fait parvenir à Madame Herzog un livre dont je suis l’auteur et relatant nos aventures avec le système judiciaire suisse. J’ai décrit dans le détail les méthodes utilisées pour faire valoir nos droits. Il semble bien que le message n’ait pas passé.
Selon mes expériences, il importe peu que le message envoyé aux autorités dites « con pétantes » soit courtois et concis, ou grossier et polémique, puisqu’il ne sera apparemment même pas lu. Il es nécessaire de recourir à d’autres méthodes pour se faire comprendre, tout le rest n’est que littérature……
Mon dossier penal a debuté en jeanvier 2008 a jeanvier 2015 n’a pas eté suffiseament instruit par le ministere public malgré les 7 ans,avant d’etre envoyer en extremis au tribunal de police que quelques jours avant sa prescription, soit le 7 jeanvier 2015,moi le plaignant je n’ai pas eté entendu meme une seule fois auqu’une expertise judiciaire n’a eté ordonné malgré plusieurs demandes,un des accusé a eté converti en temoin par le ministere public sans auqu’une explication,les prevenus ont accumulé des fausses preuves pour etre credibles,ils vont meme declaré a la cour que le juge instructeur ne veux pas noter leurs declarations sur les P.V.d’audition.les temoins clefs du dossier etaient instruit a ne pas venir temoigner devant la cour malgré leurs convocations.le procureur abondonne la poursuite des prevenus,mais il soutient un des prevenus.les auditions des prevenus et les temoins des prevenus devant le tribunal de police sont contradictoires pour etre credibles,Le dossier est baclé pour etre confié au juge Philippe colelough que par la suite a pronancé un aquittement des prevenus avec une tache tres lourde qui pese sur leurs culpabilité,Les P.V. d’audition des temoins et des prevenus l’atteste.en fin un recours a eté deposé au tribunal penal cantonal,mon ancien avocat refuse d’invoquer le denis de justice,que je reclame a aujourd’hui,je suis victime d’injustice au nom de la justice elle meme au nom de la confederation et notre constitution.Le peuple suisse ne merite pas a etre baffoué touché dans sa chair dans ses os dans sa dignité par des hommes hors la loi,qui represente la loi.
Bonne lecture a toutes et a tous,esperant que justice me soit rendu au nom de ce peuples suisse tant aimés et respectés.Bechir Sebei lui meme