CRUELLES ET INUTILES Des millions d’animaux croupissent dans des cages pour des expérimentations diverses. Elles sont cruelles et coûtent cher. Elles mènent à des résultats faussés qui sont généralement inapplicables aux humains. Malgré les promesses de certaines industries – et une loi au niveau européen – la situation stagne.
L ‘expérimentation animale consiste à utiliser des animaux comme substitut ou modèle pour mieux comprendre la physiologie d’un organisme et ses réponses à divers facteurs (alimentation, environnement, agents pathogènes) ou substances (pour en tester, vérifier ou évaluer l’innocuité ou la toxicité), et tout particulièrement pour tenter de prévoir ce qui se passe chez l’Homme.
Des millions de souris, de rats, de lapins, de primates, de chats, de chiens et d’autres animaux sont enfermés dans de tristes cages de laboratoires. Ils croupissent péniblement, accablés de solitude et n’attendent que la liberté. Mais ils ne peuvent rien faire d’autre que s’asseoir et attendre craintivement la prochaine manipulation terrifiante et douloureuse qu’ils devront subir.
Les expériences sur les animaux sont cruelles et coûtent cher, et elles mènent à des résultats faussés qui sont généralement inapplicables aux humains. C’est en partant de ce constat que les scientifiques les plus avant-gardistes du monde travaillent pour développer et utiliser des méthodes pour l’étude des maladies et les tests de produits qui remplacent le recours aux animaux et qui sont aptes à en prédire les effets sur la santé humaine.
Ces méthodes modernes englobent des expériences abouties impliquant des cellules et tissus humains (connues sous le nom de méthode in vitro), des techniques avancées de modélisation par ordinateur (méthode d’étude in silico) et des études à l’aide de sujets humains volontaires. Ces diverses méthodes non-animales ne sont pas parasitées par les différences entre espèces qui rend les expériences réalisées sur les animaux difficiles ou impossibles à transposer aux humains, et elles sont généralement plus rapides et moins coûteuses à mettre en œuvre.
http://www.petafrance.com/actualites/les-pays-bas-font-un-grand-pas-pour-le-droit-des-animaux/
Cher Victor Hugo…
L’enfer n’existe pas pour les animaux, ils y sont déjà.