Patrick Nordmann
« En 45 ans d’enquêtes, d’investigations, de satire et d’observation de la vie publique, je me suis aperçu que malheureusement les gens honnêtes avaient en face d’eux des institutions et des personnalités qui ne l’étaient pas toujours…
Leur attitude n’est qu’une forme de violence et de mépris pour les citoyens qui croient en la vertu de ceux qui nous gouvernent, nous commandent et nous jugent.
Pour contrer ces dérives anti-démocratiques, il est nécessaire de ne pas se laisser intimider et de répliquer par des faits irréfutables afin de les confondre.
Cela s’appelle le sens de la Justice.
Et c’est pour cela que nous sommes prêts à tous les combats avec pour seul but le respect de l’intérêt public.
Spécialisé dans les affaires judiciaires, je suis toujours curieux des dysfonctionnements de nos institutions publiques et privées et avide de connaître les très bonnes mauvaises raisons qu’elles ont de ne pas accomplir leur travail, surtout si le contribuable (qui est leur patron) est victime de leur incompétence structurelle ou malicieuse. »
CV en bref:
Patrick Nordmann commencé sa carrière de journaliste à La Tribune de Lausanne puis à 24 heures. Très vite, il devient un des piliers des émissions humoristiques de La Première avec « Au fond à gauche » (1977) puis « 5 sur 5 » (1984), etc. A la télé, il entre au « Fond de la corbeille ». Il a également lancé « Les Dicodeurs » (1997), scénarisé plusieurs albums de Lucky Luke, écrit des chansons pour Pascal Auberson. Membre fondateur de Vigousse (2010), il a exercé la fonction de rédacteur en chef adjoint au sein de l’hebdomadaire satirique.
Contacts: 079 285 00 31 – patrick.nordmann@pjinvestigation.ch
Joël Cerutti
« Le journalisme se pratique selon sa personnalité, ses coups de cœur et ses coups de gueule.
Je suis un vecteur de passions autant que d’indignations. J’adore les rencontres avec des personnalités exceptionnelles qui se battent pour leurs idées ou leurs projets. Je suis révolté face aux citoyens qui subissent des injustices. Des destinées peuvent se retrouver totalement anéanties par le mépris, la partialité administrative, le pouvoir mal utilisé.
Le journalisme d’investigation peut, parfois, changer cette donne.
En vingt-cinq ans de métier, j’ai pu, à ma modeste échelle, influer sur certains faits. Soit en attirant l’attention des lecteurs sur des choses (d)étonnantes , soit en portant certains dossiers épineux – souvent écartés par d’autres médias – sur la place publique.
J’ai été journaliste spécialisé dans les médias ou le cinéma. J’ai animé, à la télé, des centaines d’émissions. J’ai même dirigé quelques années une chaîne de télévision locale. Mais j’ai trouvé l’essence, la justification de mon travail dans la vraie enquête, dans la façon de parler avec mon cœur des choses que j’admirais.
Dans ce que propose PJ Investigations, j’ai la synthèse de tout ce que le journalisme m’apprend au quotidien: utiliser tous les supports pour que les messages et les plaisirs portent. »
CV en bref:
Joël Cerutti entame sa carrière de journaliste à la rédaction locale de Sierre du Nouvelliste (1986). Très vite, il prend en charge la chronique média et cinéma du quotidien valaisan (1990). Parallèlement, il gère des chroniques télés sur Rhône FM (1996) et rédige des scénarios de faux reportages pour l’émission Verso, de la TSR (1997). Collaborateur bénévole de Canal 9 dès ses débuts (1984), il prend les fonctions de rédacteur en chef dès 1998. Retour à la presse écrite au printemps 2008 où il est engagé comme correspondant valaisan du Matin. Aujourd’hui, il rédige des guides sur le Valais et prête sa plume à différents journaux ou site internet (Vigousse, PME Magazine, Le Courrier, La 6e Dimension, Altus, 1dex, etc.)
Contacts: 079 457 44 28 – joel.cerutti@pjinvestigation.ch