DIRECT, DOSSIER 2 Alessia et Livia (6 ans) ont disparu le dimanche 30 janvier 2011. Les enquêteurs ont suivi les traces de leur père Matthias Schepp jusqu’en Corse et son corps a été retrouvé le jeudi 3 février 2011sous un train en gare de Cerignola en Italie.
Pas de traces des deux enfants. Et si leurs corps reposaient dans le lac Léman ?
Tout pense à le croire… sauf que les autorités vaudoises ne veulent pas «y aller voir », sous prétexte que cette affaire a déjà coûté beaucoup trop cher à l’Etat de Vaud.
Dans son article (http://www.pjinvestigation.ch/fr/?p=742), revient sur les raisons qui plaident pour l’immersion par leur père des deux petites filles au large de Saint-Sulpice (VD), commune de domicile de la famille.
Notre thèse est basée sur le caractère, prouvé, de «manipulateur pervers narcissique» du père. Cela nous a amené à demander aux autorités de police et de justice vaudoises d’entreprendre des recherches dans la zone lacustre au large de Morges et Saint-Sulpice.
La réponse a été négative. Sans l’avouer officiellement, il semble que les frais de recherches en France ont coûté très cher à l’Etat vaudois et que le «ridicule», suite à la possible découverte des enfants dans le Léman, freine toute opération sérieuse.
En ce qui concerne les moyens techniques pour ce genre de recherches, des affaires récentes démontrent que les polices de la navigation ont tous les moyens techniques pour investiguer en eau profonde.
QUESTION :
Pourquoi la police et la justice vaudoise n’ont-elles fait aucune recherche sous-marine dans la zone du lac Léman où pourraient se trouver Alessia et Livia ?
Cette question a été posée en date du lundi 19 août 2014 par e-mail aux institutions suivantes :
– M. Eric Cottier, Procureur général du canton de Vaud (eric.cottier@vd.ch)
– M. Claude Emmanuel Dubey, Président du tribunal neutre du canton de Vaud (info.tn@vd.ch)
– Mme Béatrice Métraux, cheffe du Département des institutions et de la sécurité DIS (info.sgdint@vd.ch)
Patrick Nordmann