« En 45 ans d’enquêtes, d’investigations, de satire et d’observation de la vie publique, je me suis aperçu que malheureusement les gens honnêtes avaient en face d’eux des institutions et des personnalités qui ne l’étaient pas toujours…

Leur attitude n’est qu’une forme de violence et de mépris pour les citoyens qui croient en la vertu de ceux qui nous gouvernent, nous commandent et nous jugent.

Pour contrer ces dérives anti-démocratiques, il est nécessaire de ne pas se laisser intimider et de répliquer par des faits irréfutables afin de les confondre.

Cela s’appelle le sens de la Justice.

Et c’est pour cela que nous sommes prêts à tous les combats avec pour seul but le respect de l’intérêt public.

Spécialisé dans les affaires judiciaires, je suis toujours curieux des dysfonctionnements de nos institutions publiques et privées et avide de connaître les très bonnes mauvaises raisons qu’elles ont de ne pas accomplir leur travail, surtout si le contribuable (qui est leur patron) est victime de leur incompétence structurelle ou malicieuse. »

CV en bref:

Patrick Nordmann commencé sa carrière de journaliste à La Tribune de Lausanne puis à 24 heures. Très vite, il devient un des piliers des émissions humoristiques de La Première avec « Au fond à gauche » (1977) puis « 5 sur 5 » (1984), etc. A la télé, il entre au « Fond de la corbeille ». Il a également lancé « Les Dicodeurs » (1997), scénarisé plusieurs albums de Lucky Luke, écrit des chansons pour Pascal Auberson. Membre fondateur de Vigousse (2010), il a exercé la fonction de rédacteur en chef adjoint au sein de l’hebdomadaire satirique.

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