PROSE CANAPE Après la lecture de sa chronique « 1000 vies » dans Le Matin Dimanche du dimanche 24 mai 2015, le constat devient clair: toute ressemblance entre Christophe Passer et un journaliste est purement fortuite.
Monsieur Christophe Passer est un grand journaliste. Il l’a démontré dans tous les journaux qui peuplent la terre romande et dans lesquels il s’est paré de tous les talents : de l’enquêteur au polémiste en passant par le chroniqueur, le critique et le moraliste. A chaque fois, il a pratiqué le «moi je» comme d’autres pratiquent l’onanisme. Gloire à lui et à sa petite personne !
C’est ainsi qu’il a commis cette semaine un article de soumission digne des pires collaborateurs de la France de Vichy.
La sublime pensée de ce Rédacteur en chef adjoint s’illustre ces temps-ci dans une chronique dans Le Matin Dimanche (24.05.15), intitulée finement «1000 vies». Et en fait de vie, il fait bien peu de cas de celle de Laurent Ségalat, acquitté par la Justice vaudoise, puis condamné par des juges à la botte de du Procureur général du canton de Vaud, Eric Cottier et dont PJ Investigations est en train de démontrer toute l’ignominie. Christophe Passer, comme beaucoup de ses confrères, est devenu un journaliste de salon qui surtout ne pense qu’à sa retraite future et n’a de cesse de plaire à ceux qui détiennent le pouvoir, au détriment de toute la déontologie qui devrait faire la gloire de ce métier.
C’est ainsi qu’il a commis cette semaine un article de soumission digne des pires collaborateurs de la France de Vichy.
Sous le titre «Toute ressemblance… », il se gausse de l’Etat français qui a eu la prudence élémentaire de refuser d’incarcérer dans ses geôles Laurent Ségalat condamné par des juges de pacotilles vaudois pour «le meurtre de sa belle mère».
Faisant fi de tout véritable travail journalistique, le sieur Passer démontre qu’il n’a suivi ni les procès, ni les soupçons très graves qui minent désormais la Justice vaudoise.
Faisant fi de tout véritable travail journalistique, le sieur Passer démontre qu’il n’a suivi ni les procès, ni les soupçons très graves qui minent désormais la Justice vaudoise et son fonctionnement (http://www.pjinvestigation.ch/?p=3722)
Comme un pauvre suisse romand aigri qui veut faire de l’esprit, il se moque des Français qui passent leur temps à glorifier leurs «criminels» devant les médias de l’hexagone et termine sa nauséabonde chronique par cette fasciste prédiction : « Coup de théâtre, Laurent Ségalat est enlevé, en bas de chez lui (en France, NDLR), par une bande de gros bras vaudois, ramené en Suisse, laissé devant un poste de police, et flanqué en tôle. »
Patrick Nordmann