ON NE PRETE QU’AUX ULRICH ! Prenez-en de la graine, messieurs-dames! Gerhard Ulrich est le plus grand emmerdeur que la planète Justice ait eu à subir à ce jour.
Cela fait des décennies qu’il fait chier les institutions judiciaires du monde entier et particulièrement les vaudoises. Cela lui a coûté cher: quatre ans de taule pour avoir tenté d’empêcher nos juges et nos procureurs de magouiller en rond !
Il a été démoli et raillé par tout le système politco-médiatique de ce pays et comme tous ceux que l’Etat baptise «quérulent», toutes ses dénonciations, tous ses combats contre l’injustice et l’organisation quasi maffieuse qui sévit en Suisse, n’ont abouti qu’à renforcer l’impunité de ceux qui détiennent le pouvoir.
Malgré tout, le citoyen Ulrich continue de hurler et si il est accompagné désormais par des sites comme PJ Investigations ou des écrivains comme Jacques Secrétan, il reste le seul à être aussi virulent dans ses dénonciations.
Et il sait de quoi il cause puisqu’il a passé plus de 10’000 heures à étudier des dossiers judiciaires douteux. Il en ressort un nouveau pamphlet intitulé : «La condamnation scandaleuse de Laurent Ségalat ou «L’Etat de droit » démasqué».
Ce bouquin est édifiant. Il démonte pièces à l’appui toutes les infamies commises depuis des dizaines d’années par des juges de tous les niveaux, même fédéraux ou européens, des procureurs totalement pervertis par leur toute puissance, des policiers confondant de nullité et d’à priori, des fonctionnaires noyés dans leur propre paperasse et des politiciens lâches et complaisants qui, au nom de la «séparation des pouvoirs» jouent les aveugles au détriment de ceux qui les ont élus.
Lisez ce livre et vous redécouvrirez une cohorte de magistrats félons que vous connaissez bien, si vous nous suivez régulièrement. Sur cette scène tragique qui nous sert de justice, voici qu’apparaissent les juges Philippe Colelough, Marc Pellet, Blaise Battistolo, les procureurs vaudois Nicolas Koschevikov parmi plusieurs et à tout seigneur tout honneur, l’inénarrable Procureur général du canton de Vaud, Eric Cottier.
Une bonne partie de leurs méfaits y sont décrits et sans aucun doute, il y en a bien d’autres. Gerhard Ulrich, longtemps exilé et de retour au pays, n’hésite pas à dire tout haut ce que nous disons également dans nos articles : que tout cela doit cesser immédiatement et qu’il est temps de faire le ménage, au risque de voir notre Etat de Droit totalement discrédité !
Aucun de ces magistrats n’a pour l’instant déposé plainte contre Ulrich ou contre nous et seul Eric Cottier s’est fendu d’une missive vengeresse contre le Justicier Ulrich dont nous vous laissons découvrir toute la saveur hargneuse :
Et pour la bonne bouche, voici la réponse de Gerhard Ulrich !
Patrick Nordmann
«La condamnation scandaleuse de Laurent Ségalat ou «L’Etat de droit » démasqué» aux Editions Samizdat, à commander à g.ulrich1944@gmail.com au prix de 30 francs.